
Le
prochain congrès du Parti Socialiste des 5, 6 et 7 juin devra trancher entre
quatre motions dont les deux principales : celle du premier secrétaire,
résolument démocrate, qui soutient les réformes du gouvernement et celle de
l’aile gauche qui refuse d'abandonner son objectif de toujours, le progrès
social.
Mais entre Jean-Christophe Cambadélis rejoint
par Martine Aubry d'un côté et les frondeurs de l'autre, ce congrès risque
d’être un nouvel épisode démontrant la faiblesse de la réflexion dans la
majorité gouvernementale…